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Herbiers d'autrefois
Lequel d'entre nous n'a pas profité de l'été, durant son enfance, pour commencer un herbier?
Les plus courants, que l'on retrouve au fond des greniers, étaient fait sur de simples cahiers par des écoliers, mais les plus intéressants peuvent être l’œuvre de botanistes érudits, c'est le cas de celui dont nous vous proposons de voir quelques planches.
Cette collection de plantes fut rassemblée par un certain Dr Couprie à la fin du XIX° siècle. Comme son antique prédécesseur le faisait au premier siècle après Jésus-Christ, le grec Diosciride (dont le célèbre herbier fait toujours référence dans les études pharmaceutiques sous le nom "DE Materia Medica") le Dr Couprie a répertorié le plus possible de plantes de sa région, ayant des propriétés médicinales connues.
Chaque planche de son herbier fut consacrée à une ou deux fleurs, dont nous pouvons encore lire sur les grandes étiquettes, le nom latin et le nom commun de la plante, le lieu et la date où elle fut cueillie ainsi que l'usage pharmaceutique que l'on peut en faire.
Pendant longtemps ce genre d'album fut le seul moyen fiable que les botanistes avaient de transmettre le fruit de leurs études. Les plus anciens existants encore de nos jours, datent du XVI° siècle et sont conservés à l'université de Bologne, en Italie.
Les moyens technologiques modernes ont relégué ces travaux au rang d'antiquités et ces planches d'herboristes font le bonheur des décorateurs. Mises sous verre, elles donnent à une pièce l'ambiance que l'on pouvait trouver dans les fameux "cabinets de curiosités" du XVIII° siècle. (Vous pouvez voir d'autres planches en cliquant sur la photo qui illustre ce propos; elles sont en vente au prix de 70€ pièce)
Secret d'atelier
L'humidité est le principal ennemie de ces herbiers. Nous vous conseillons de les conserver dans des endroits très secs et de les ouvrir de temps en temps. Sous verre, l'idéal serait de les placer derrière une "marie-louise "ou un"passe- partout" évitant ainsi le contact direct avec la vitre et le développement de moisissures
Les plus courants, que l'on retrouve au fond des greniers, étaient fait sur de simples cahiers par des écoliers, mais les plus intéressants peuvent être l’œuvre de botanistes érudits, c'est le cas de celui dont nous vous proposons de voir quelques planches.
Cette collection de plantes fut rassemblée par un certain Dr Couprie à la fin du XIX° siècle. Comme son antique prédécesseur le faisait au premier siècle après Jésus-Christ, le grec Diosciride (dont le célèbre herbier fait toujours référence dans les études pharmaceutiques sous le nom "DE Materia Medica") le Dr Couprie a répertorié le plus possible de plantes de sa région, ayant des propriétés médicinales connues.
Chaque planche de son herbier fut consacrée à une ou deux fleurs, dont nous pouvons encore lire sur les grandes étiquettes, le nom latin et le nom commun de la plante, le lieu et la date où elle fut cueillie ainsi que l'usage pharmaceutique que l'on peut en faire.
Pendant longtemps ce genre d'album fut le seul moyen fiable que les botanistes avaient de transmettre le fruit de leurs études. Les plus anciens existants encore de nos jours, datent du XVI° siècle et sont conservés à l'université de Bologne, en Italie.
Les moyens technologiques modernes ont relégué ces travaux au rang d'antiquités et ces planches d'herboristes font le bonheur des décorateurs. Mises sous verre, elles donnent à une pièce l'ambiance que l'on pouvait trouver dans les fameux "cabinets de curiosités" du XVIII° siècle. (Vous pouvez voir d'autres planches en cliquant sur la photo qui illustre ce propos; elles sont en vente au prix de 70€ pièce)
Secret d'atelier
L'humidité est le principal ennemie de ces herbiers. Nous vous conseillons de les conserver dans des endroits très secs et de les ouvrir de temps en temps. Sous verre, l'idéal serait de les placer derrière une "marie-louise "ou un"passe- partout" évitant ainsi le contact direct avec la vitre et le développement de moisissures
